le blog de Martine Sonnet – ISSN : 2267-8735

"Le problème de la nuit reste entier. Comment la traverser, chaque fois la traverser tout entière ?" Henri Michaux

Crapaud plate couture

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Posted by ms on 28 juillet 2011 at 13:59

C’était l’auto de trop celle qui fait la peau

pauvre crapaud t’en as eu plein le dos

sec sur graviers petit doigt en l’air.

Je me souviens de Crapaud, Blaireau, Rat et Taupe quand on lisait le soir, il y a longtemps, Le vent dans les saules de Kenneth Grahame à nos enfants (Folio junior n° 713).

Filed under sans parole ou presque

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2 Comments

On 31 juillet 2011 at 14:21 PCH said

Ce crapaud-là avait une amie grenouille qui bégaye, ils étaient tous les deux sur le trottoir avant de traverser quand la grenouille a dit à son ami, peut-être un peu pressé : “f-f-f-fais at-t-at-t-at-at-at-ten-ten-ten ti-ti-t au ca-ca-ca-ca mion… “mais c’était déjà trop tard…
On 31 juillet 2011 at 15:23 ms said

Oui, encore un accident si bête ! (la grenouille que je connais bien, pour l’avoir aussi lue aux enfants le soir, c’est la Pauvre Verdurette du regretté Claude Boujon)

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