le blog de Martine Sonnet – ISSN : 2267-8735
"Le problème de la nuit reste entier. Comment la traverser, chaque fois la traverser tout entière ?" Henri Michaux
Je pensais que mon regard sévère aurait tôt fait de le convaincre de rectifier sa position acrobatique déplacée - la chaleur n’excuse pas tout -
mais il m’a juste semblé, et encore au bout d’un certain temps, seulement rougir de son audace.
Une chance que je n’aie pas été pas accompagnée de jeunes enfants auxquels j’aurais appris qu’il faut toujours s’en remettre au petit bonhomme vert pour savoir quoi faire.
De quoi aurais-je eu l’air ?
D’être tombée sur la tête.
En tout cas, ce n’est pas son cousin berlinois qu’on verrait se mettre dans un état pareil. Son chapeau ne le supporterait pas.
Lorsque les éléments de votre côté semblent se tenir, voilà que vous les admonestez de rétablir leur position : cependant (ce n’est pas délation, mais point de vue sur votre biographie qu’il est important de garder en mémoire), il peut vous arriver aussi, Employée aux positions acrobatiques, de vous tenir dans le même état que ces petits artefacts (j’en veux pour preuve ici : http://www.tierslivre.net/krnk/spip.php?article1355#forum10881 ce que vous dites de la photo que vous m’offriez si gentiment) (on dirait que le petit Berlinois rapporte une baguette de pain à la maison, le matin) (il est décidé celui-là) (ceci ressort, aussi, du genre n’est-ce pas)