le blog de Martine Sonnet – ISSN : 2267-8735
"Le problème de la nuit reste entier. Comment la traverser, chaque fois la traverser tout entière ?" Henri Michaux
Tâtonnements et déboires
Il y aurait ici la photo du pot de pensées sur le rebord de la fenêtre de la cuisine (dont j’ai déjà parlé ailleurs). J’en avais pris plusieurs ces derniers jours et le ciel à giboulées, changeant, se prêtait à des variations de lumière intéressantes sur mes trois fleurs avec évier au premier plan et ustensiles de cuisine séchant, variables eux aussi au fil de la journée. Mais pas moyen. Dossier impossible à créer ou erreur lors de la tentative réessayer plus tard. Et le dépanneur maison qui n’est pas là et rentrera tard. Ce ne sera donc pas pour aujourd’hui ces nouvelles de mes trois pensées, mais qu’on me croie sur parole : elles prospèrent. Avec le petit pied à terre sur la toile que je viens de louer, je me sens comme une qui aurait quatre murs neufs à aménager – et c’est bien la première fois que j’emménage dans du neuf. Qu’on m’excuse si je ne sais pas encore très bien où ni comment accrocher tous mes cadres.
4 Comments
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En attendant les pensées à la louche ou l’écumoire, un feuillet un brin plus piquant de l’herbier 19e, qui devrait seoir à ces deux premiers billets qui n’en manquent pas :
http://www.flickr.com/photos/jamaisje/ -
Ah voilà, très bien, c’est le spinalien qui m’a informé de l’ouverture sans tambour ni trompette de votre nouvel appartement : c’est chouette, propret et calme pour le moment… je vois aussi les liens que vous portez à notre connaissance, c’est bien aussi; vous connaissez “celui qui n’aime ni les enfants ni les animaux ne peut être complètement mauvais” ? C’est mon cas pour les chats seulement, mais qu’est-ce que ça peut bien faire ? Si vous aimez la librairie, mélico ouvrira bientôt son site foisonnant : je vous tiens au courant, tout comme du livre photographique (il ne sera pas question de nuémrique en cette occurrence) que je mets au point avec l’ami Denis…
J’ai lu les accidents du travail des intellos, et c’est vrai que monter sur l’estrade, devant tout l’aréopage des pairs qui n’attendent qu’un faux pas pour vous assassiner peut aussi rendre légèrement nerveux : en même temps, quand c’est de face …
A bientôt bonnne route.
Amicalement -
merci des visites et encouragements : bon à prendre, on ne sait pas trop où on va quand on essaie de démarrer ce genre de choses…
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bienvenue parmi les blogueurs, et merci d’avoir sélectionné lignes de fuites dans un blogroll très sélectif !
