L'employée aux écritures

le blog de Martine Sonnet – ISSN : 2267-8735

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"Le problème de la nuit reste entier. Comment la traverser, chaque fois la traverser tout entière ?" Henri Michaux

Un dimanche matin atypique

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Posted by ms on 15 juin 2008 at 21:00

Ce matin, l’employée aux écritures profitant de ce que les effectifs de la maison étaient réduits de moitié en cette fin de semaine, est allée au cinéma au lieu d’aller au marché.

Ce qui, dans l’absolu, ne semble pas un événement remarquable, une fois rapporté au fait que depuis deux ou trois ans je ne vais plus qu’exceptionnellement au cinéma (à peine une fois par trimestre) voit sa mention ici pleinement justifiée.

Il doit rester trois cinéastes dont je vois systématiquement les films – Nanni Moretti, Wong Kar-wai et Eric Rohmer – mais ils ne tournent pas à tour de bras, et s’il n’en restait qu’un se serait le carissimo Nanni.

Mais ce matin, il s’agissait de voir L’Aimée un film d’Arnaud Desplechin qui ne passe que dans un cinéma, une fois par semaine, à 10h30 le dimanche, et dans lequel il est question de la vente par son père de la maison de ses grands-parents à Roubaix et plus généralement de l’histoire familiale du réalisateur et de sa transmission. Des sujets auxquels je suis particulièrement réceptive en ce moment.

Intéressant, mais un peu bavard et avec quelques fils difficiles à démêler. Avec aussi un curieux parti pris de cacher les femmes vivantes (la mère de Desplechin comme la mère de ses propres enfants – trois petits  garçons que l’on voit, eux, beaucoup) alors que tout le film tourne autour d’une (ou deux ?) morte(s). 

Je me suis souvenue que le film d’Emmanuel Bourdieu pour la série “Mes parents” d’Arte, réalisé à partir des films super 8 familiaux réalisés par son père Pierre, m’avait surpris de la même façon en ne montrant quasiment que des hommes et des enfants. La parenté entre les deux oeuvres n’est pas seulement une vue de mon esprit puisqu’au générique de L’Aimée, Emmanuel Bourdieu est remercié.

Je me suis souvenue aussi d’un autre film Histoire d’un secret qui ressemble à ces deux-là, à certains égards, très beau et selon moi plus émouvant, montrant deux soeurs, la réalisatrice Mariana Otero et sa soeur comédienne, Isabel Otero, enquêtant sur la mort de leur mère, peintre de talent, décédée en 1968 des suites d’un avortement qu’on leur avait toujours fait passer pour une opération de l’appendicite ayant mal tourné…

En regagnant la gare Montparnasse à pied, croisé Albert Jacquard rue de Rennes, ce qui m’arrive très souvent dans ce quartier et me fait toujours plaisir.

Après quoi, passé l’après-midi à préparer des notes pour mon intervention au colloque Billancourt de mardi.

 

Filed under la vie tout venant
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28 Comments

  • On 16 juin 2008 at 18:50 PdB said

    J’ai vécu les premières années de ma vie parisienne et étudiante rue cujas j’étais en fac à jussieu, ça allait, le ciné à 2 francs le midi du dimanche aussi, petite salle que ce “Panthéon” quand même… Pour Desplechin je ne suis pas sûr, mais je suis comme vous je ne vais plus au cinéma (je le regrette parfois, surtout pour Scorcese et les nouveaux italiens qui ont été vu à Canes cette année : je ne sais plus si ce n’était pas Dino Risi qui disait à Nanni Moretti “tes films sont bien, mais ils seraient encore mieux si on t’y voyait moins” : en même temps, vachardises impliquent aussi une certaine possibilité de dire sans trop se fâcher ; la phrase que vous citiez sur le forum tl est bien sympathique, mais aussi un peu fausse, je suppose : voici bientôt quarante que je vis avec la même femme, ça va, et avec mes filles, ça va, et avec ma famille ça va (je ne les vois guère) mais il y a aussi parfois des façon de penser, je pense à Musil là en réalité…

  • On 16 juin 2008 at 20:15 ms said

    Manquerait plus que ça, qu’on ne voit pas Nanni Moretti dans les films de Nanni Moretti ! Un homme avec un charme pareil ! C’est précisément une qualité supplémentaire des films de Nanni Moretti – qui n’en manquent pas par ailleurs – que de nous montrer, en plus, Nanni Moretti.
    Je trouve que la salle du Panthéon a été très bien refaite, mais je ne sais pas quand, le dernier film que je suis sûre d’avoir vu là étant “Diva” (vu tout de même un certain temps après sa sortie – sans doute vers 1982 ou 1983)…
    Je me demande un peu à quelle phrase du forum TL vous pensez, si c’est celle de François que je citais hier pour son côté radical

  • On 16 juin 2008 at 21:24 PdB said

    oui sans doute “il fallait faire le deuil de cette façon d’y marcher ensemble” je suppose, hein, c’est de françois ? dans mécanique ou bien ? je ne suis pas si étonné, en même temps…
    pour moretti c’est sûr que s’il était pas là ça ferait un vide (c’est à cause de la piscine, cette adoration aussi je subodore ?)
    y a t-il toujours un balcon ou je me trompe encore au Panthéon ?

  • On 16 juin 2008 at 21:36 ms said

    la phrase venait de l’échange précédent entre François et vous me semble-t-il

    la piscine bien sûr : pas une fois où j’y aille sans en venir à penser à “Palombella Rossa”

    pas vu de balcon au Panthéon

  • On 16 juin 2008 at 22:17 PdB said

    ah oui, j’avais lu votre intervention ce matin, c’est pourquoi (je me suis demandé en quoi ce débat là vous dépassait ? et puis je crois qu’il se trompe aussi mais ça… c’est que le monde des libraires et celui des éditeurs a toujours été à couteaux tirés – sans compter celui des auteurs…- qui veut prendre la place d’untel, d’un autre… panier de crabes, comme il se doit sans doute);
    mais chose plus sérieuse : pas de balcon au panthéon… confonds-je ?
    et aussi ce parallèle entre les films de famille et l’aimée, là (desplechins ses films ne sont-ils pas toujours un peu bavards, au fait ? je critique, c’est aisé en même temps : mais c’est aussi un travers des films français de vouloir parler parler parler alors que celui des étatsuniens c’est courir courir courir… : je crois que je préfère, mais à chaque fois je me demande…)
    vous avez déjà vu des films de douglas sirk ? sinon, vous avez de la chance de pouvoir en voir 3 début juillet : vous pouvez y aller, ce sont des mélodrames vraiment magiques quand on aime le ciné, ce qui semble quand même être votre cas… d’ailleurs pour moretti, évidemment c’était une sorte de blague…
    à bientôt

  • On 16 juin 2008 at 23:00 ms said

    au XVIIIe siècle et avant c’était un seul métier, libraire/imprimeur en fait éditeur ;
    et à ce propos j’ai reçu récemment, mais pas encore lu, le premier tome du journal d’un libraire parisien du XVIIIe, Siméon-Prosper Hardy, il a appelé son journal “Mes loisirs ou journal d’événemens tels qu’ils parviennent à ma connaissance” (1753-1789). Il raconte tout ce qu’il voit, tout ce qu’il sait, c’est passionnant. 835 pages le premier volume publié (sous la dir. de Daniel Roche et Pascal Bastien, PU Laval , Québec) et il y en aura 12…
    J’en reparlerai sûrement parce qu’à l’automne je devrais rejoindre l’équipe qui assure la publication (et en suis très heureuse)

  • On 16 juin 2008 at 23:15 PdB said

    ça a l’air passionnant, on dirait; et oui il y avait cette équivalence (j’ai participé à une histoire de la librairie à paraître en octobre au cercle de la librairie – moyenne comme boîte d’édition,ça, c’est electre vous savez) et c’est justement parec qu’il y avait cette équivalence qu’ils se battent comme des chiffoniers sur un ou deux points de marge etc etc…
    et il vivait où ce siméon prosper harrdy ?

  • On 17 juin 2008 at 17:34 PdB said

    je peux en parler à la sociologue de mélico de vos douze tomes au fait ? vous me direz où se trouvait sa librairie quand vous le saurez (mais il doit en avoir eu plusieurs j’imagine)

  • On 17 juin 2008 at 19:39 ms said

    C’est un homme de la rive gauche et plus précisément de la montagne Sainte-Geneviève, comme il se doit pour un libraire de l’époque. Né rue Traversine, qui a disparu quand la rue des Ecoles a été percée, après quoi sa librairie était rue Saint-Jacques. Il ne dit pas où exactement, plusieurs adresses sûrement puisque ce qu’il voit de sa fenêtre change au fil des ans (rue St-Jacques, quai de la Tournelle, place Maubert).
    Bien sûr, vous pouvez en parler à qui vous voulez : rien de secret là-dedans et c’est un homme qui gagne à être connu. Pour l’instant le t.1 n’est pas encore distribué en France, seulement au Canada.

  • On 17 juin 2008 at 23:54 michèle pambrun said

    Un rival de Bergounioux on dirait Siméon-Prosper Hardy avec son journal sur 36 ans.
    Le colloque à Billancourt s’est bien passé?
    J’ai vu que vous aviez intégré la chronique d’Alain Nicolas de L’Huma sur Atelier 62. Il m’étonne beaucoup qu’il ait écrit Armand. Pas son genre ce type d’erreur.
    Amitiés (et une caresse à Moumine; moi c’est un Athanase tout noir que j’ai, amoureux aussi de la paperasse et de l’écran )

  • On 18 juin 2008 at 0:12 michèle pambrun said

    Pour Billancourt, j’étais pas encore allée dans le petit journal ( l’urbaniste).
    Le petit journal où l’on voit le fameux kindle…et Philippe.

  • On 18 juin 2008 at 7:03 ms said

    Pour ce que j’en ai lu jusqu’à maintenant, le contenu du journal de Hardy n’est pas introspectif, donc loin de Rousseau… et de Bergounioux. C’est vraiment de l’actualité, générale, politique, faits divers parisiens…
    Oui le colloque s’est bien passé, je n’ai pas trop le temps d’en rendre compte, trop de choses à faire pour la fin juin, il me faudrait vraiment un petit enregistreur…

  • On 18 juin 2008 at 7:31 ms said

    ps : et pour Athanase, que je salue bien aussi, je peux continuer la série des photos de collègues de bureau…

  • On 18 juin 2008 at 11:59 gilda said

    J’avais été bouleversée par “L’histoire d’un secret”, et je sais bien un peu pourquoi : il est emblématique du drame de tant de femmes (et des hommes qui les aimaient). Tourné aussi avec tant de retenue et de pudeur et finalement si peu bavard.

    Pour “L’aimée”, détail : si mes souvenirs des temps heureux sont bons, deux au moins des petits gars sont ceux de son frère Fabrice, au sourire si doux, lui-même présent dans le film.
    Les femmes vivantes sont effectivement fort absentes de ce film, comme s’il fallait surtout ne pas disperser l’attention (ce qui n’exclut pas non plus une part de mysogynie). On entrevoit juste la mère du réalisateur et celle des enfants dans un plan de départ à la fin (là aussi, à la mémoire alors non sans un léger coefficient d’incertitude).
    Pour ce qui est des rapports entre réalité et fiction, séquence passionnante entre celle de “L’Aimée” ou Robert indique dans le cimetière ou se trouvent les tombes familiales, et celle d’”Un conte de Noël” où le personnage de Roussillon avec le même geste montre “Je serai moi enterré là-bas” – comment je fais pour me souvenir d’un truc pareil, moi, faut-il que ça m’ait émue … – .

  • On 18 juin 2008 at 12:13 ms said

    Je confirme : les deux femmes vivantes vues seulement de dos sortant de la maison.
    Pour “Un conte de Noël” je n’ai pas vu et pas sûre que j’irai : film un peu long à caser dans l’emploi du temps d’une part, actrices après lesquelles je ne cours pas d’autre part (mais Mathieu Amalric oui en revanche, surtout chez les Larieu).
    Bien aimé aussi scène cimetière et itinéraire dans le cimetière. Comme on se fabrique nos visites aux morts.

  • On 18 juin 2008 at 16:27 PdB said

    si on faisait un petit travail sur le fait que nous allons au cinéma pour
    les acteurs
    les réalisateurs
    le hasard
    l’anniversaire d’untel
    etc
    pas un sondage mais un travail, à plusieurs, pour se connaître et se reconnaître tout en sachant que tous, nous voyons ça de notre fenêtre (comme dirait Anne Savelli), vous en diriez quoi vous autres qui passez par là, et vous, ms ?
    ce serait intéressant comme tout : peut-être que le www est un hors de propos, mais si on essayait pour voir ?
    sur le ciné c’est chouette (ou la télé mais je ne l’ai pas on s’en fout mais bon) un peu comme la matrice, là, mais dans un autre ordre d ‘idée ?
    si ça vous tente, j’administre
    Vous tous direz

  • On 18 juin 2008 at 19:34 ms said

    vous voulez qu’on fasse quoi et comment au juste ? (mais vous savez le salon de l’employée aux écritures est peut-être moins visité que vous l’imaginez)

  • On 18 juin 2008 at 20:52 gilda said

    Comme ms je ne vois pas bien quoi ni sous quelle forme, mais pourquoi pas ?
    En même temps je suis quand même peut-être un peu atypique, je vais depuis presque 10 ans rarement au cinéma pour me distraire, ni pour du pur plaisir. Mais je ne suis pas non plus d’aucune profession qui y soit liée, donc c’est un peu bizarre.

  • On 18 juin 2008 at 21:58 ms said

    je ne crois pas que la profession ait à voir avec ça, moi j’y suis allée assez compulsivement, mais c’était il y a longtemps et vers l’Action Christine surtout (en rêvant de passer une nuit dans l’hôtel juste en face), après raisonnablement, longtemps une fois par semaine le dimanche à 18h aux Sept Parnassiens, où il y a toujours au moins un film qui nous convient et Montparnasse c’est pratique pour nous, et puis maintenant très rarement, plus trop envie, préférence à la lecture et internet, et c’est le réalisateur qui me décide comme je le disais dans le billet de dimanche (mais là c’est un contre-exemple puisque c’est le sujet annoncé qui m’avait décidée et l’amie qui voulait à tout prix le voir sans réussir à convaincre personne d’autre)

  • On 18 juin 2008 at 21:59 PdB said

    c’était une idée qui passait mais pour la mettre en pratique, il y a loin, une foule de questions, mais enfin voilà :
    1. pourquoi aller au cinéma ? (le panthéon dimanche, par exemple, vous dites “l’effectif diminué de moitié” d’accord, mais ce film là à cet endroit là
    2. alors aussi : ce qui vous a fait y aller, vous vous souvenez ? croiser le film dans un journal, quelqu’un qui vous en a parlé, desplechins untel quoi, le truc qui actionne disons (ce n’est jamais aussi simple mais quand même quelque chose)
    3. notre disponibilité : faire le cobaye, voir ce qu’on va voir (vous allez voir etc.) et comprendre nos actions
    est-ce que c’est bien ? intéressant ? est-ce que ça nous dirait quelque chose de plus de nous-mêmes ?
    (peut-être pas seulement le ciné d’ailleurs aussi, mais comme j’aime ça, je me dis que c’est plus facile, j’en sais rien : il y a les lectures – vous savez les dix meilleurs lus de l’années des trucs comme ça, où est-ce qu’on pourrait aller “ensemble” pour en faire quelque chose qui ait une texture, un tissu, une façon de passion, de quelque chose que nous ne savons pas mais qui nous travaille?
    c’est compliqué, hein ? Mais c’est une application de ce que nous sommes les uns et les autres. Est-ce que c’est à voir ?
    il faut vous dire, ms et vous tous, que ces temps-ci je suis un peu en plein feuilleton et que peut-être j’en vois partout aussi…
    vous mettriez, ms, une entrée de votre blog que les visiteurs nourriraient (on ne peut guère les forcer, en même temps, et en le disant, je me dis que c’est un petit peu con mais bon, tant pis je me suis lancé je continue) ; une entrée “cinéma” par exemple et chacun y poserait ses films, et les raisons qui ont contribué à cette sortie/vision/spectacle : et puis ensuite, à noël par exemple on regarde et on classe, catégorise, s’intéresse, divulgue : est-ce que c’est une bonne idée, ou seulement une divagation de socio-ethno-anthropologue-enquêteur ?
    à présent, j’en doute fortement, mais c’était ça…

  • On 18 juin 2008 at 22:12 admin said

    j’avais un peu répondu, juste avant que vous installiez votre batterie de questions, mais techniquement ça doit plutôt être un forum qu’il faudrait pour faire ça que ce blog qui ne se prête pas à ce genre de choses à mon avis
    et si vous vous lanciez vous-même ? aménagez nous donc cette sorte de remise où nous irions déposer nos films ou expo vus, livres lus, vêtements achetés et que sais-je encore de nos consommations, pourquoi pas ?

  • On 18 juin 2008 at 22:29 PdB said

    oui c’est une idée, mais :
    - la technique je déteste (je ne dispose pas d’un Léo Lucas j’ai oublié le nom de votre fils aîné,; ma fille n’y serait pas opposée, mais elle passe le bas et va faire médecine, pas informatique ou quoi que ce soit du type;
    - le temps va me manquer parce que ces mois-ci les trois qui viennent sont plein à craquer, et ce n’est juste pas fini, simplement (entre beaucoup d’autres choses, les cendres de mon beau-père sont dans le box grenier, nous avons à les épandre entre Quiberon et Belle Ile cet été : réunir ceux qui veulent assister à cette cérémonie, fixer le jour louer le bateau etc etc)
    - même les plus amicaux personnages de mon entourage ne veulent pas entendre parler de ce médium (ils sont réticents comme aux jeux électroniques de leurs enfants)
    - c’est une affaire de forum en effet : j’en parlerai, à l’occasion, à certains contacts du CNC parce que ça peut intéresser les marketteurs (c’est aussi ce type de truc qui fait bien suer aussi remarquez bien)

    et je vais vous dire quelque chose : l’hôtel en face de l’action Christine était celui où descendait toujours à Paris Samuel Fuller quand il y venait (c’est là que je suis allé lorsqu’une année, après mon mémoire de maîtrise consacré à sa personne, il m’avait donné rendez-vous et que nous avons parlé, descendant la rue dauphine ensuite, le pont neuf, les halles, en parlant ciné, c’était une soirée sympathique, un vendredi en octobre où il faisait beau et doux, quel souvenir magnifique, vraiment…)

  • On 19 juin 2008 at 7:20 ms said

    finalement je me demande si ce serait pas un peu facebook que vous nous réinventez, qui intéresse bien aussi les marketteurs…

  • On 19 juin 2008 at 8:57 PdB said

    ouais voilà c’est ça à peu près : mais il y a une démarche qui s’apparente plus à la liste… et vu d’ici, les marketteurs, parfois, avec cette sorte d’humilité qu’ils ont (parfois hein : parce que les portraits chinois, et autres métaphores animales, vraiment c’est vraiment détestable et affligeant pour le genre humain) : intégrer ce que leurs “clients” potentiels surtout peuvent dire… quelle misère aussi en même temps… qu’ils soient humbles ou arrogants, quel métier !

  • On 20 juin 2008 at 21:36 PdB said

    Vous semez le bazar pour la srvie du Cnrs ou quoi ?
    Académic pride un jour, académic pride toujour s ?
    si oui je soutiens…! (bien que privé évidemment)

  • On 21 juin 2008 at 0:52 Phileon92 said

    Je confirme l’existence d’un petit balcon (quatre rangées de fauteuils) au Cinéma du Panthéon, avec accès par un escalier situé au fond de la salle.

  • On 21 juin 2008 at 9:57 admin said

    Philéon92, quelle bonne surprise ! et merci de l’info (et de sa précision qui ne me surprend pas)

  • On 21 juin 2008 at 11:40 PdB said

    Ah d’accord, un peu difficile d’accès mais là quand même, je me disais “alzheimer quand tu nous tiens…” mais non, tant mieux merci Philéon92

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