le blog de Martine Sonnet – ISSN : 2267-8735
"Le problème de la nuit reste entier. Comment la traverser, chaque fois la traverser tout entière ?" Henri Michaux
De janvier à juin 2010, chaque mois, vers le 10, je posterai une de mes Notes de voyages avec livre chez mélico (un acronyme qui veut dire mémoire de la librairie contemporaine), rubrique “Création contemporaine“, où je serai accueillie ainsi en résidence virtuelle, au côté d’Anne Savelli qui, elle, continue à poster ses Oloé.
J’avais carte banche, le tout étant qu’il soit, d’une façon ou d’une autre, question dans mes textes de livres, ou de lectures, ou de lecteurs, ou de bibliothèques, ou de libraires… J’ai mélangé le tout et choisi de revenir sur tous ces déplacements pour des rencontres autour de mon livre Atelier 62 sorti en librairie il y a pile deux ans aujourd’hui, et ma manière de les vivre. Ces rencontres que j’annonçais sur mon site, quand elles étaient tout public, et sur lesquelles je revenais parfois sur le blog.
Je ne m’attendais pas du tout à toutes ces invitations : quand un manuscrit essuie 18 refus avant de trouver son éditeur, on n’imagine pas que le livre rencontrera autant d’écho… J’ai vécu tous ces voyages avec beaucoup d’émotion, tant par leur étrangeté à l’aune de ma routine casanière, que par la chaleur des réceptions qui nous étaient faites, au livre, à ceux dans le livre, et à moi.
A lire chez mélico aujourd’hui la première de ces Notes de voyages avec livre : “Des départs“.
Bon voyage ! (et un grand merci à l’équipe mélico pour la mise en forme soignée de mes textes et photos)
La mise en page est en effet magnifique. Le texte aussi, bien entendu.
Alors la voici donc, la nouvelle forme de publication des ouvrages ; c’est si agréable à lire !!
18 refus x deux années = 36 villes visitées grâce à Atelier 62 (dommage qu’à Billancourt on ne l’ait pas numéroté 72) !
Une amie conseille ce petit extrait :
http://www.youtube.com/watch?v=_t9begCwIB0
just like when you were young, Employée…
Oui, merci, c’est exactement cela : “Alors, vous disiez ?”
Melico, mélancolie, mêlez-y souvenirs et brises de mer sur rails…