le blog de Martine Sonnet – ISSN : 2267-8735
"Le problème de la nuit reste entier. Comment la traverser, chaque fois la traverser tout entière ?" Henri Michaux
Je continue à les saisir quand je les croise, ces soupiraux donnant joliment filets d’air et rais de lumière aux caves parisiennes, au bas d’immeubles le plus souvent haussmanniens. Et dès que j’en engrange cinq inédits sur mon chemin, je vous les montre. On peut dire qu’il y en a pour tous les goûts et c’est heureux. (*)
De l’élégant à volutes et fruits auquel un petit nettoyage de printemps ferait le plus grand bien,
du précieux un peu chargé,
du recherché qui laisse perplexe et dont on peine à décrypter le code ou le message
du plus reposant pour l’esprit
et du modeste se contentant de petits trous, certes savamment disposés.
(*) Pour retrouver les livraisons précédentes, passer par la septième, la sixième, la cinquième, la quatrième, la troisième, la deuxième, la première.
(le quatrième a une consistance royale il me semble -le trois plus mandarinade -la récolte fut bonne) (le poumon le poumon hein…:°)) (j’adore vos variétés parisiennes,Employée (demain au journal l’une des miennes, qu’à la cheville elles ne parviennent point)
Vous vous mésestimez, cher Collègue, vos variétés parisiennes n’ont rien à envier aux miennes et j’attends de vous lire demain avec grande impatience !